X-Box 360

Grand Theft Auto IV

& Episodes from Liberty City

En 2008, Rockstar nous sort la suite de GTA III avec le quatrième volet de cette (magnifique, immense, incroyable, …) série. Cette fois si, pas d’épisode en spin-off comme étaient les San-Andreas, Vice City ou autre Sotry of…, mais bien un tout nouveau jeu. Et un an plus tard, deux extensions viennent accompagner ce bijou, pour qu’au final en octobre 2010 une édition intégrale voit le jour. C’est donc de cette dernière que vous allez pouvoir découvrir le test.

Exceptionnellement, le test sera en deux partie. L’une pour le GTA IV et une autre pour ses extensions, car elles valent bien un test pour elles. Voici donc la première partie et l’original, Grand Theft Auto IV.

Welcome to Liberty City

La phase d’introduction du jeu est un véritable générique de film. Vous verrez donc le personnage principal, Niko Bellic, arriver sur un bateau de la marine marchande a Liberty City, puis son cousin, Roman, un peu… alcoolisé. Déjà la vous pourrez voir que les graphismes ont eu un sacré coup de neuf, next-gen oblige, depuis les derniers épisodes sur Playstation 2. On a donc le droit a une modélisation plus fine, et surtout a des mouvements des personnages beaucoup moins carré. On a beaucoup plus une impression de réalisme. La première mission du jeu consistera donc a raccompagner le cousin Roman dans sa maison au volant d’un taxi. Vous remarquerez donc le principal changement de gameplay a ce moment : la conduite de voiture ne se fait plus a l’aide des touches croix et rond, mais des gâchettes. Une prise en main assez rapide tout de même, car les autres mouvements ne changent pratiquement pas. Une fois arrivée a la maison de Roman, Niko comprendra que tout ce que son cousin lui a raconté dans les mails était faux, et donc que les principales raison de son arrivée étaient ruinée. Après cette mission, vous pourrez donc commencer a explorer la ville. Et la aussi, une modélisation plus poussée de l’univers. Les gens ont un portable, discutent, mangent, bref ils vivent tout comme vous. Et un nouveau changement, qui rend le jeu encore plus réaliste : essayer de voler une voiture sur le côté, au lieu de l’ouvrir comme si le propriétaire avait laisser les clés dessus, vous verrez Niko casser la vitre avec son coude. Et en faisant ça, vous aurez sans doute une étoile. La aussi un changement. Au lieu de pouvoir aller n’importe ou, vous devrez sortir d’un cercle avant toute chose. Et si un flic vous vois en dehors, vous revenez au centre. Une difficulté supplémentaire lorsqu’on commence a avoir beaucoup d’étoiles (eh oui, le cercle est proportionné au nombre d’étoile.

Moins de fun pour plus de sérieux

Cet opus de Grand Theft Auto aura a sa sortie fait deux polémique. Tout d’abord le maire de New-York qui voulait empêcher le feu de sortir car il donnait une mauvaise image de sa ville, et ensuite les fans inconditionnel de GTA pour son côté déjanté. En effet, une fois dans le jeu, on comprend que le jeu s’adresse a ceux qui aiment les films ou jeux noirs sans trop de délire. Si il y aura une ou deux tentatives d’humour par des personnages, ou quelques caricatures, ce jeu n’en reste pas moins un anti-gta sur ce côté. Pas de saut en parachute, pas de code pour les tanks, pas de pilotage d’avion, … bref ce jeu est la avant tout la pour montrer une vie difficile pour Niko Bellic qui acceptera les missions les plus difficiles pour trouver de l’argent pour lui et son cousin. Et les autres personnages ne vont pas hésiter a l’en empêcher une fois qu’il prend trop d’influence en le trahissant lâchement. Cela montre donc un léger changement de vision de la part de Rockstar. Malgré tout le jeu reste très agréable, et l’histoire est l’une des plus réussie des GTA.

Un multi qui rallonge le tout

Pour finir ce test, je vais vous parler du mode multi du jeu, qui est lui aussi relativement bien réalisé. Plus d’une dizaine de modes, allant de la poursuite entre gendarme/voleur comme lors de notre enfance (a l’époque des premiers Need For Speed …) au très simple deathmatch, ou le seul est unique but qui vous sera attribué sera de tuer le maximum d’adversaire pour gagner un paquet de dollars a la fin. Tout cet attirail en ligne aura donc largement de quoi augmenté une durée de vie déjà longue.

CONCLUSION :

Grand Theft Auto IV. Rien que ce nom ne vous paraîtra pas inconnu. Et si malgré tout vous ne connaissez pas encore ce jeu, il vaut mieux y jouer. Une histoire principale palpitante, des dizaines de missions secondaires, allant de faire le taxi pour son cousin jusqu’au deal de drogue en passant par la chasse de pigeon dans la ville, vous aurez tours de quoi faire. Si malgré tout le solo vous ennuie, vous pourrez toujours partir sur le multi, qui reste l’un des plus complet du marché. Enfin, on ne PEUT pas se plaindre de graphismes, qui sont sur une autre galaxie par rapport aux anciens opus. Seul défaut, moins de fun…

Les plus

- Un scénario captivant jusqu’au bou

- Une excellente rejouabilité (deux fins)

- Un multi très complet

- De bons graphismes

Les moins

- Moins fun que les anciens opus

La note du testeur : 19/20

the_virus

Bonjour a tous. Voici donc, comme promis, le test de Bioshock 1 (testé sur 360).

Bioshock

En 2007, 2K et Irrational Games nous pondent un FPS sur X-BOX 360 et PC (la version PS3 venant 1 an plus tard, a cause de la sortie tardive de cette console). Et si nous nous attardons sur ce jeu, c’est bien parce que c’est bien plus qu’un simple jeu, c’est un bijou du genre.

Un univers très… spécial

Dans Bioshock, vous incarnez le seul survivant d’un crash d’avion en pleine mer. Difficilement, vous allez donc trouver un bâtiment. Une fois dedans, vous allez prendre une espèce de boule qui vous amènera dans le lieu de l’aventure : la ville de Rapture, l’œuvre d’un seul homme : Andrew Ryan. Dès ces premières minutes, vous aurez plus admirer des graphismes plus que satisfaisant. Puis, une fois dans la ville sous marine, vous voici dans  l’univers ou se passera tout le jeu. Vous entrez donc dans une ville déchirée par la guerre entre les chromosomes (qui sont finalement des restes d’humains, des zombis plus intelligent) aux ordres d’Andrew Ryan, et Franck Fontaine, qui rêve de prendre le contrôle de la ville. Vous, vous serez donc aider par un certain Atlas, dont on ne connait que le nom. Et très rapidement, c’est a l’aide d’un pouvoir éléctrique (les plasmides) et d’armes que vous allez devoir vous frayer un chemin a travers les partisans d’Andrew Ryan et autres robots de défense pour aller affronter Andrew Ryan. Une dernière chose n’a pas encore été évoquée dans ce test, mais reste pourtant très importante : les petites sœurs. Ces dernières regorgent d’Adam, qui vous permettra d’améliorer vos plasmicides et autres capacités. Il vous suffira de récolter ou de sauver une petite sœur pour en avoir. Mais la tâche n’est pas si simple que ça, car une petite sœur est protégée par une créature spéciale. Que ce soit un protecteur ou un Rosie, ces derniers seront très dur a battre (pas impossible non plus), mais contiennent beaucoup d’argent, un mal pour un bien.

Un arsenal dévastateur

Pour vaincre vos ennemis, vous serez seul. Mais pas la peine d’allié a la vue de l’arsenal que les développeurs vous ont confier. De la clé anglaise au lance grande en passant par le lance flamme ou l’arbalète, et en sachant que chaque arme a trois type de munition, vous aurez largement de quoi faire. Et si certains ennemis vous donnent trop de difficultés a l’arme a feu, les plasmides, eux aussi nombreux, vous aideront aussi! Brulez, congelez, électrocutez, usez de télékinésie, faites enrager les chromosomes, faites croire au Protecteurs que vous êtes une petite sœur et qu’il faut vous protéger … bref la aussi il y aura de quoi faire pour abattra les troupes d’ennemis. Car malgré un petit coté RPG (notamment du aux améliorations), Bioshock est bel et bien un FPS bourrin. Tout de même pas au niveau d’un Painkiller, les phases de combat (très nombreuse) seront tout de même bien violent, malgré l’IA limitée des chromosomes (a part vous foncer dessus en hurlant comme un porc égorger, … ils font pas grand-chose… ). IA qui a tout de même un illumination en combat, car ils n’hésiteront pas a aller se soigner dans les postes de soins ou a aller dans l’eau lorsque vous les aurez enflammés. Après, le peu d’ennemis reste un problème (manque de diversité), mais ne nuit pas a l’ambiance dantesque du jeu.

FPS et ?

Pour finir ce test, je vais donc évoquer les à-côté du FPS brutal qu’est Bioshock. Car si c’est bien sur le FPS qui compose le jeu, vous pourrez toujours aller vous promener dans la ville, et ce durant les missions. Vous pourrez donc explorer les moindres recoins, malgré une linéarité présente, puisqu’une flèche jaune vous indiquera tout le temps vos objectifs. En pleine mission, et si l’envie vous prend (sinon il n’y a pas trop d’utilité), vous pourrez donc partir de votre objectif pour aller visiter des endroits de Rapture.

CONCLUSION :

Si vous n’avez pas encore essayé ce bijou, dépêchez vous ! Car plus le temps passe, et plus il deveint rare. Et passer a côté de ce jeu fabuleux serait idiot. Une durée de vie très convenable (3 fins différentes, entre 10 et 20 heures de jeu pour finir), des graphismes qui créer un bel univers, et une jouabilité facile de prise en main, bref même 4 ans après sa sortie, Bioshock est un monument des FPS Next-Gen.

Les plus

- Bonne durée de vie

- Très bon graphismes

- Bonne rejouabilité

- Un univers prenant

Les moins :

- Pas de multi

La note du testeur : 18/20

the_virus